Le F3E et l’ARRICOD renforcent leurs partenariats

Les deux organisations ont signé une nouvelle convention de coopération le vendredi 28 juin, lors des Universités de l’ARRICOD, à Nantes.

L’ARRICOD, association des professionnel-le-s de l’action européenne et internationale des collectivités territoriales (AEICT), a pour but de mobiliser les professionnel-le-s du secteur afin de produire du débat et de la réflexion autour des enjeux inhérents à cette politique publique territoriale.

Le F3E et l’ARRICOD travaillent sur des projets communs depuis des années. En 2024, le F3E a ainsi contribué au Café de l’ARRICOD du 15 mars sur l’intégration d’une perspective de genre dans l’AEICT ou encore animé plusieurs ateliers dans le cadre des Universités de l’ARRICOD, notamment consacrés à la mesure des effets et impacts de l’AEICT.

La signature de cette nouvelle convention par Anne-Catherine Mercuri, Chargée de mission coopération européenne et internationale de la Région Centre Val de Loire (membre du CA du F3E) et par Charlotte Rieuf, Présidente de l’ARRICOD vient renforcer et amplifier ce partenariat.

Pour la période triennale 2024-2027, plusieurs actions conjointes sont envisagées par les deux parties :

  • Poursuivre le travail sur la mesure de l’impact de l’AEICT, en développant notamment l’utilisation des « approches orientées changement » (AOC),
  • Réfléchir à une stratégie conjointe de promotion de l’AEICT et de développement des pratiques d’analyse de l’action dans ce domaine ; développer et porter des argumentaires en ce sens ;
  • Contribuer à animer des réflexions collectives (ateliers, séminaires, groupes de travail …) et produire des outils à l’usage des membres de leurs réseaux respectifs ;
  • Inciter les membres du F3E à se rapprocher de l’ARRICOD et les membres de l’ARRICOD à se rapprocher du F3E, notamment par la communication, visibilisation et diffusion réciproque.

Ce nouveau partenariat prolonge la nouvelle stratégie collectivités territoriales adoptée en 2023 par le F3E et illustre sa volonté de continuer à développer, collectivement et en multi-acteurs et actrices, des pratiques d’évaluation et de questionnement de l’action.